La Mature Éperdue – Dévergondages, Suite Et Fin -18

LA MATURE ÉPERDUE – Dévergondages, suite et fin -18

Une saga doit se terminer un jour, celle-ci ne fait pas exception à la règle, mais nos héros ne disparaîtront pas complètement. De temps à autre, ils reviendront, ensemble ou séparément dans des aventures uniques.


Odile Laribeau, née de Rissac, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Durant six mois, elle est courtisée par Edmond Gardel, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Invitée à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile s’est laissée embrasser par son hôte. Victime d’un chantage, et pour éviter le déshonneur, elle cède au notaire.

« Ce n'est pas avec de l'intelligence et encore moins avec de la culture
qu'on conduit sa vie privée. C'est avec ses tripes.
Les romantiques diront avec leur cœur, les libertins avec leur sexe…
Comme vous voudrez ».


Edmond lui impose de ne pas porter de soutien-gorge, ni de culotte. Il lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il met à sa disposition un appartement discret pour qu’elle puisse y ranger ses tenues affriolantes. C’est dans ce lieu surprenant qu’il la prend en photo dans des poses plus qu’osées et qu’il la prépare à la sodomie en lui introduisant un premier rosebud. Puis, Edmond oblige Odile à s’exhiber sur une terrasse de restaurant, où un couple en fait de même. Dans les buissons d’un parc les deux hommes prennent leur femme et pour finir les deux filles font l’amour entre elles.


Le lendemain matin, au réveil, Odile est presque violée par Michel, son mari, mais surtout il lui déflore le trou du cul sans vergogne… Lorsqu’elle retrouve Edmond trois jours après, il commence à la soumettre en la flagellant, puis, à sa grande confusion, elle est surprise par sa fille à la terrasse du restaurant où le couple se restaure.

Le soir même, son mari et sa fille étant absents pour la nuit, elle rejoint Antoinette, sa jeune collègue de bureau et, elle ose prendre l’initiative de se gouiner avec elle. Deux semaines plus tard, Odile offre enfin son cul à Edmond qui en profite honteusement. Celui-ci l’entraine dans un cinéma X où elle se retrouve inopinément en présence de Gérard, l’ex petit ami Black de sa fille et qu’elle est prise pour la première fois en sandwich entre les deux hommes.


Michel, le mari d’Odile l’emmène pour trois jours dans un lieu qu’il a tenu secret, c’est en fait l’auberge où elle a cédé à Edmond pour la première fois. Son mari la prend sans ménagement, alors qu’elle est angoissée qu’il découvre son infidélité. Puis, il lui fait subir les mêmes humiliations que son suborneur, mais cette fois, elle est presque heureuse que son mari puisse profiter de sa sexualité enfin débridée.


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Lorsque Michel et Odile se retrouvent sous les draps du grand lit à baldaquin, cette dernière tarde à s’endormir. Ses pensées vagabondent, se demandant comment son mari en est arrivé à se conduire avec autant d’audace après vingt-cinq de mariage. Il est vrai qu’il s’est montré plus entreprenant depuis plusieurs mois. Mais cela correspond tout de même à quelques semaines près, là où elle s’est fait piéger par le notaire. Car, elle ne peut se méprendre, il l’a bel et bien piégé, les photos, le chantage, elle n’y croît plus. Oh ! Bien sûr, elle ne regrette pas ce qui s’est passé, elle en retire à présent une grande satisfaction. Même si sa honte n’a pas totalement disparu, elle savoure cette sensualité qu’elle découvre de plus en plus, même si par moment les pratiques auxquelles elle s’adonne dans la plus pure perversité lui font horreur, vis-à-vis de son éducation et de sa foi chrétienne. Mais bon, elle s’en accommode et va se confesser, bien qu’elle le fasse de moins en moins souvent.
Le jeune vicaire qui a remplacé le vieux curé est trop curieux des détails croustillants des confessions de sa paroissienne.

Elle ne doute pas que son mari va en vouloir encore plus. Il l’oblige comme Edmond à exhiber en public sa poitrine et ses jambes et il est certain que son entrejambe n’y échappera pas bientôt. Puis, il est arrivé à ce qu’elle masturbe et fasse une fellation à un autre homme. Faudra-t-il qu’elle accepte de se donner à un autre devant lui ?

Elle songe aussi à Edmond qu’elle ne voit pas souvent en ce moment. Il lui manque, même s’il l’entraîne inexorablement en Enfer. Ses pensées libidineuses finissent par avoir un effet dévastateur, elle se branle déjà depuis un moment dans le vaste lit et, alors que son mari dort profondément, elle jouit et coule de toute la cyprine produite par son vagin.

Le lendemain matin, le couple regagne sa gentilhommière à Lormont au Parc de l'Ermitage Sainte-Catherine. L’atmosphère est lourde de sensualité dans la limousine confortable de Michel. Odile songe qu’elle n’a jamais vécu une expérience pareille avec son mari. Heureusement la débauche indécente qu’Edmond lui a imposée l’a rendu plus réceptive aux excès qu’elle vient de subir, bien qu’elle ne comprenne pas comment il a pu se transformer à ce point.

Quant à Michel, il sait à présent que son épouse se laissera entraîner dans les pires dépravations, ce qu’il a découvert durant ce long week-end le conforte dans cette idée. Une fois chez lui, il s’enferme dans son bureau et ouvrant son ordinateur, il engage une conversation sur internet avec un mystérieux correspondant.

Le lundi, Odile reprend ses activités de DRH dans les bureaux de la CSIIB, Cours Victor Hugo à Bordeaux. Elle retrouve sa collègue de la division financière, Antoinette, cette jolie brune trentenaire, avec laquelle elle a eu une aventure saphique sulfureuse. Les deux femmes, devant un café, pris dans le bureau d’Odile se font des confidences, et se promettent de se retrouver lors d’un prochain déplacement de Michel, puisque Antoinette, divorcée est libre comme l’air.
Odile fait part à sa compagne de l’évolution surprenante de son mari qui a une conduite, proche de celle d’Edmond, se demandant se qui a provoqué ce changement soudain après vingt-cinq ans de mariage. Les deux femmes se séparent, après s’être embrassées langoureusement et caressées brièvement.

Le mardi, Edmond lui téléphone pour lui demander de se libérer le jeudi après-midi jusque tard le soir. Par chance, son mari doit justement être d’astreinte jusqu’au vendredi, donc il ne rentrera pas jeudi soir. Elle se demande, jusqu’où va l’entraîner encore ce diable de notaire. Il lui faut s’avouer que ce sexagénaire, célibataire endurci a tout pour lui : bel homme, bien entretenu et riche, il est un séducteur né. Sa perversité raffinée, a un ascendant incroyable sur Odile. Le chantage, à la base de leur relation, a fait place à une véritable soumission de la part de la belle mature qui est prête à accepter les propositions les plus inconvenantes du vieux mâle dépravé.

Lorsque le jeudi, à 15 heures, Odile gare sa Twingo dans le garage de la place Mitchell, le coupé BMW d’Edmond est déjà garé. Odile en montant l’escalier privatif qui la mène au loft, frissonne en pensant à ce qu’Edmond va lui faire encore subir. L’excitation du plaisir annoncé dépasse de loin, l’appréhension de l’humiliation ou même de la souffrance. D’ailleurs, elle sent déjà sa chatte s’humidifier…
La première chose que vérifie le notaire, lorsqu’Odile ouvre la porte, c’est de s’assurer que sa soumise ne porte ni culotte, ni soutien-gorge. En tâtant la vulve, il constate que sa proie est déjà bien mouillée, preuve s’il en est, qu’elle se prêtera à toutes ses envies.

« Ma petite chienne lubrique dégouline déjà, tu deviens vraiment une petite pute ma Chérie. Allons à poils et plus vite que ça ! »

Sous les mots insultants du notaire, Odile pâlit surprise de la brutalité inhabituelle d’Edmond qui la vouvoie habituellement, mais qui peut passer au tutoiement trivial d’un seul coup, fouettant son orgueil et la perception des valeurs auxquelles elle est attachée.
Pourtant, elle se hâte d’enlever la jupe et le corsage qui la recouvraient, se retrouvant en bas et en porte-jarretelles comme l’exige son suborneur, mais sans aucun dessous. Edmond savoure cet instant, il s’est armé d’une cravache et il s’amuse à frôler les tétons saillants des jolis seins en poire, qui s’alourdissent quelque peu, donnant quelques légers coups sur les fesses bien pommelées, pour enfin glisser la tige entre les cuisses et venir titiller la vulve, faisant trembler la pauvre mature, qui ne sait pas s’il va la corriger ou non.

Edmond se coule dans son dos, alors qu’Odile se tient immobile. Il lui passe un foulard noir sur le visage, l’aveuglant, puis, il lui fixe dans le dos une paire de menottes aux poignets, et il lui demande d’écarter le plus possible les jambes. Enfin, il va jusqu’à la porte de la salle de bains qu’il ouvre, s’adressant à un homme invisible.

« Mon Cher, j’ai une délicieuse putain qui nous attend pour que nous la baisions et l’enculions toute la soirée et toute la nuit si nous en avons envie. J’espère que vous êtes en forme, car la chienne est insatiable et nous allons la faire gueuler sous nos queues réunies »

Odile est paniquée par la vulgarité dont fait preuve le notaire, qui se comporte très rarement de la sorte, mais jamais à ce point. Pourtant, depuis qu’Edmond l’oblige à s’exhiber en public, malgré sa honte, elle apprécie les regards portés sur son corps par d’autre hommes, comme la « divine salope » qu’elle est en train de devenir. Elle en frissonne d’humiliation et de volupté mélangées !

Lorsqu’elle sent deux corps nus masculins se frotter contre elle, l’un devant, l’autre dans son dos, elle est bien incapable de différencier celui d’Edmond et celui de l’inconnu. Les deux hommes se plaquent contre elle, lui faisant sentir leurs sexes rigides qui s’insinuent entre ses cuisses et entre ses fesses. Ils tripotent à tour de rôle ses seins, sa croupe, sa chatte. Des doigts s’introduisent dans la raie culière, d’autres percent la rosace et s’enfoncent dans l’anus. Une bouche prend la sienne et une langue la pénètre, une autre bouche mord sa nuque. Elle est affolée par toutes les sensations de son corps qui subit des attouchements multiples. Lorsque des lèvres prennent possession de son vagin, elle grogne de plaisir, pliant ses genoux pour s’offrir encore davantage. Elle coule de plus en plus, surtout que bientôt, des doigts la doigtent furieusement. Elle crie et hurle sous la jouissance qui déferle en elle, expulsant le jus de la femme fontaine qu’elle est devenue.

C’est à ce moment que son foulard est retiré et qu’horrifiée, elle découvre son mari, assis entre ses cuisses, qui vient de la faire monter aux rideaux et qui la contemple goguenard.

Comment Michel peut-il se trouver là, avec son amant, dans ce loft, où elle a subit tant de turpitudes ?

Les deux hommes n’ont pas l’intention de lui donner d’explications immédiates. Ils l’entraînent sur le lit. Michel lui enlève les menottes pendant qu’Edmond s’allonge, le vit dressé comme un mât. Michel fait mettre son épouse à genoux sur le bord du lit, lui demandant de se mettre à califourchon sur le notaire et de s’enfoncer sa verge dans le con. Ce n’est pas la première fois qu’Odile prend cette position qu’elle adore. Écartant de deux doigts les grandes lèvres, elle s’enfonce sur le pieu rigide jusqu’à toucher l’utérus. Il faut avouer que l’engin notarial n’est pas seulement épais et large, il est d’une longueur digne d’un « hardeur ». Edmond palpe les seins, et les malaxe et en plus presse les tétons turgescents qui sont à portée de main, puis, il les pince, les vrille et les tord entre le pouce et l’index, les allongeant de plusieurs centimètres jusqu’à ce que la belle mature gémisse de douleur et de plaisir mélangés. Elle aime ce supplice qui l’excite au plus haut point, la souffrance la faisant défaillir lorsque le pincement cesse sur les bouts, la brûlure irradiant tout son corps.

Alors qu’Edmond cesse de martyriser les seins d’Odile, il la fait basculer sur lui, permettant à Michel d’écarter les fesses de son épouse et de lui lécher la raie culière, insistant sur le délicieux petit anneau de Vénus, dont la rosace plissée s’entrouvre sous la caresse linguale. Odile a bien compris que son mari va la sodomiser, en même temps qu’Edmond la possède vaginalement. Ce sera la seconde fois, puisqu’elle a eu la primeur de connaître cette double pénétration avec Edmond et Gérard, l’ex petit copain Black de sa fille Muriel, dans ce cinéma X où l’a entraînée son pygmalion. Même si elle a réprouvée toute sa vie les débordements sexuels, et n’a été initiée que depuis moins d’un an contre sa volonté, Odile n’a pas été sans lire des romans ou des essais plus ou moins érotiques. Cette double pénétration l'a toujours effrayée et curieusement attirée en même temps.

Michel explore à présent l’orifice du postérieur conjugal avec un, puis deux et enfin trois doigts réunis, forçant le sphincter qui n’offre que peu de résistance, après avoir été assoupli depuis plusieurs mois. par des rosebud de différentes grosseurs. Bientôt, il se sent en mesure de chevaucher son épouse, engageant sa verge dans les entrailles qu’il a déflorées il y a peu. Odile pousse un bref cri rauque à l’engin qui perfore son fondement, raclant la mince paroi qui sépare son vagin où est déjà logée la grosse queue d’Edmond.

Odile, malgré sa première expérience de ce doublé, suffoque, tellement l'intromission incroyable des deux verges s'approprie entièrement les deux conduits. L'émotion fantastique des sexes qui palpitent ensemble dans son corps la transporte dans un autre monde où elle délire, oscillant entre l'euphorie et la joie. Basculant dans une douce folie, elle ne sait plus lequel des deux hommes a pénétré son vagin ou son anus.

Michel a l'impression qu'aucune membrane ne sépare les deux sexes et qu'ils sont tous les deux dans le même orifice tellement le frottement est proche, ce qui lui procure une sensation jamais connue auparavant. Il bécote la nuque de son épouse, lui mordillant le globe des oreilles et lui faisant de multiples suçons dans le cou.

Les organes des mâles commencent à se mouvoir dans les matrices, alors que le corps de la femme mûre tressaute sous les coups de boutoirs des deux hommes. Elle se laisse tripoter et embrasser, baiser et enculer par les mandrins qui la font jouir intensément. Elle leur souffle qu'elle en veut encore, que c'est bon, qu'elle jouit.

« Oh ! Oui ! Oh oui, oui, encore, encore, continuez !... »

Les deux hommes, accélérent la cadence, s'engloutissent dans les entrailles de la cavale qui jouit longuement de ces queues bien huilées, qui continuent à fouiller son corps superbe pendant de longues minutes. Michel rugit du plaisir qu'il a si longtemps contenu éjectant son foutre dans le cul de son épouse, stupéfaite de la violence de son mari qui la serre convulsivement entre ses bras et la plaque contre le torse d'Edmond. C’est à ce moment, que celui-ci lâche son sperme au fond de sa vulve et qu’un nouvel orgasme la secoue fabuleusement, lui faisant crier encore sa joie et son amour, tout en étant consciente qu’elle se vautre dans la débauche, bouleversée par le plaisir pervers de sa chair admirablement comblée. Les deux hommes, après avoir éjecté leur sperme dans son fondement et dans son vagin, s'écroulent enchevêtrés, sur et sous la femme offerte.

Lorsque Michel et Edmond se dégagent du corps d’Odile, encore endormie, épuisée par la chevauchée infernale qu’elle a subie, ils vont prendre une douche et se rhabillent. Ils contemplent avec beaucoup de bienveillance et de tendresse le corps d’Odile, alanguie dans sa presque nudité. En effet, à part son porte-jarretelles noir et ses bas fumés en lambeaux, qui n’ont pas résisté aux deux mâles en rut, elle est nue, offrant à leur regard des seins en poires un peu lourds à présent, des hanches parfaites aux fesses callipyges, surmontant des cuisses pleines et des jambes au galbe parfait. Elle fait au plus un mètre soixante pour une cinquantaine de kg. Son visage rond régulier aux magnifiques yeux marron est surmonté d’une chevelure naturelle de couleur châtain clair qui lui tombe sur les épaules. Tout en elle respire la beauté à l’état pur.

Odile se réveille lentement, clignant des yeux, lorsqu’elle voit les deux hommes qui la contemplent, et s’attardent sur les formes qu’elle leur montre ingénument. En effet, la position de ses cuisses largement ouvertes, offre à leurs yeux la vulve et l’orifice de son adorable lune, encore largement dilatés, après l’assaut dont ils ont été l’objet. Repliant les jambes sous elle et n’osant regarder Michel, elle baisse la tête et pleure silencieusement. L’affront de s’être fait surprendre par son mari, alors qu’elle était avec son amant est insoutenable.

C’est à ce moment que son époux lui dit doucement.

« Pardonne-moi ma Chérie, tout est de ma faute et tu n’es en rien responsable. Écoute-moi et ne m’interrompt pas »

Michel explique alors qu’Edmond a été le notaire depuis une trentaine d’années de la société de Blayes où il travaille. Qu’après de nombreux contacts au fil des années, ils sont devenus amis. Puis, après la retraite d’Edmond, ils ont poursuivi leur déjeuner bi mensuel, se faisant des confidences sur leur vie intime. C’est comme cela que Michel s’est confié sur le manque de sexe dans son couple et sur son désir de voir son épouse enfin évoluer et l’envie de la voir faire l’amour avec un autre homme. Connaissant la réputation d’Edmond, célibataire endurci et grand coureur de jupons, Michel lui propose alors de séduire son épouse.

« Tu vois mon Amour que tu n’as rien à te reprocher, nous avons tout manigancé tous les deux et tu en es la seule bénéficiaire ! Avoue tout de même que tu prends ton pied aussi bien avec moi qu’avec Edmond et que tu n’as jamais autant joui, surtout depuis que nos queues ont envahi en même temps ta chatte et ton cul. Tu es notre petite salope adorée et lorsque nous aurons repris des forces avec ces excellents sushis et blinis et bu le Champagne qu’Edmond vient de servir, nous allons t’en remettre un petit coup et la nuit n’est pas terminée »

Le trio revisitera le reste de la nuit, une partie des figures du Kama Soutra, se mélangeant jusqu’à ce que la fatigue les terrasse, se promettant de vivre d’autres aventures ensemble ou avec d’autres partenaires.

Mais chacun garde son ou ses secrets pour lui seul.
Michel, se garde bien de dire à son épouse qu’il a une vidéothèque importante de ses ébats, qu’Edmond lui a transmis régulièrement.

Odile à oublié de confier à son mari, comme à Edmond, qu’elle a eu une aventure saphique avec Antoinette, sa collègue de bureau et qu’elle compte bien encore s’ébattre avec elle en toute discrétion.

Edmond, qui a recommandé Muriel, la fille de 22 ans du couple à un cabinet d’avocats de Biarritz pour effec un stage, néglige de leur dire qu’il fait une cour assidue à la jeune fille qu’il sait vierge, pour justement essayer de lui prendre son pucelage.


F I N


Épisodiquement, Odile ou Edmond reviendrons,
ensemble ou séparément,
dans des récits uniques et sans suite.

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